Новости за 22.11.2016

Un animateur périscolaire d'une école maternelle de Strasbourg fait partie des sept suspects interpellés le week-end dernier, soupçonnés d'avoir projeté de commettre un attentat sur le sol français. "Il n'y avait eu aucun signe de radicalisation", a assuré la ministre de l'Éducation nationale au micro de BFMTV.

Le Premier ministre a regretté ce mardi à l'Assemblée "la mise en cause délibérée et systématique du chef de l'Etat" après avoir été interpellé par la droite sur l'ouverture d'une enquête préliminaire concernant la divulgation à deux journalistes par François Hollande de documents classés secrets ainsi que sur la proposition d'une résolution à l'Assemblée visant la destitution du président.

A quelques jours du second tour de la primaire de la droite, l’arrivée de François Fillon en tête du premier scrutin suscite de nombreux commentaires. Pour Razzy Hammadi, le porte-parole du PS, "il est normal que le candidat qui a un programme de droite soit élu à la primaire de la droite". Mais selon lui, "personne ne gagne à voter Fillon à moins de payer l’ISF (Impôt sur la fortune)".

Le président du Parti chrétien démocrate Jean-Frédéric Poisson, qui a réalisé un score de 1,5% au premier tour de la primaire de la droite, a décidé de soutenir François Fillon au nom de "ses engagements sur la politique familiale et de l'accueil de la vie, l'école, la pauvreté, les questions qui touchent au dialogue social." "Un travail est possible" estime-t-il donc. Et ce malgré "des divergences qui demeurent sur le mariage et sur une vision ultra-libérale de l'économie".

Le PS monte au créneau pour dénoncer le programme de François Fillon, le désormais candidat favori des Républicains pour la présidentielle. En attendant le second tour de la primaire de la droite et du centre dimanche prochain, chacun y va de sa petite phrase pour décrédibiliser le Sarthois.

Le président du Modem, qui soutient Alain Juppé à la primaire de la droite, prend position contre François Fillon.

Pour espérer contrer François Fillon, Alain Juppé continue d'attaquer son programme. Ce mardi, il a ciblé ses idées sur les questions de société et l'égalité hommes-femmes, appelant notamment son adversaire à "clarifier" sa position sur l'avortement. La réponse de l'intéressé ne s'est pas fait attendre.

François Fillon veut économiser 100 milliards d'euros sur cinq ans, en supprimant notamment 500.000 emplois publics. Une mesure qui inquiète les agents municipaux de Montreuil, en Seine-Saint-Denis. "C'est déjà très difficile pour les fonctionnaires", témoigne l'un d'entre eux au micro de BFMTV alors qu'une autre souhaite "participer au deuxième tour" pour faire barrage à celui qui a raflé 44,1% des voix au premier tour de la primaire de la droite et du centre.

Invité de Jean-Jacques Bourdin ce mardi sur BFMTV et RMC, Bruno Retailleau, soutien de François Fillon, a dénoncé les "attaques" commises à l'encontre du désormais favori de la primaire à droite. Pour le président du groupe LR au Sénat, les "juppéistes utilisent parfois des mots de la gauche" lorsqu'ils chargent contre l'ancien Premier ministre.

Interviewé sur Europe 1 ce mardi, Alain Juppé a demandé à François Fillon de "clarifier sa position" sur l'avortement. En déplacement à Viry-Châtillon, l'ancien Premier ministre lui a répondu: "Ça fait 30 ans que je suis parlementaire. Est-ce qu'une seule fois j'ai pris une position contre l'avortement? Jamais", a poursuivi celui qui est arrivé en tête des votes lors du premier tour de la primaire de la droite et du centre avant de critiquer des “polémiques inqualifiables qui abaissent le niveau”.

Invité de BFMTV ce mardi soir, l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy s'est dit victime "d'attaques en dessous de la ceinture" de la part du maire de Bordeaux. Il estime pour sa part avoir "toujours été très correct" avec son adversaire du second tour.

Attaqué par Alain Juppé depuis sa victoire au premier tour de la primaire, François Fillon réplique. Il dénonce le programme "décalé par rapport au centre de gravité de la droite" de son adversaire.

De "Droopy" à "collaborateur" en passant par "pauvre type", François Fillon a collectionné les surnoms peu flatteurs. Désormais favori de la primaire de la droite, l'ancien Premier ministre va devoir changer son image s'il ne veut pas que ces sobriquets lui collent à la peau.

Interrogé sur le ralliement de Valérie Pécresse à Alain Juppé, François Fillon estime que "c'est la vie politique". Mais en interne, il aurait surnommée son ancienne alliée "Valérie traîtresse".

Le parquet de Paris a ouvert une nouvelle information judiciaire concernant le financement des dernières campagnes électorales du Front national.

Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains et filloniste de la première heure, était ce mardi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.

Invité de BFMTV depuis Toulouse, le maire de Bordeaux Alain Juppé s'en est pris à son adversaire François Fillon à quelques jours du second tour de la primaire à droite.