Новости за 17.11.2016

En 1962, le Général de Gaulle instaure la règle des 100 signatures d'élus en même temps que le suffrage universel, afin de limiter le nombre de candidats à l'élection présidentielle. Insuffisante, la règle est renforcée en 1976. Il faut désormais recueillir 500 signatures provenant d'au moins 30 départements différents sur un total de 47.000 élus.

Emmanuel Macron a donné son premier meeting de campagne jeudi à Marseille après l'annonce la veille de sa candidature à la présidentielle 2017. "Ce n'est pas une décision qu'on prend à la légère. Je l'ai prise parce que je suis persuadé d'être prêt et je sais que nous sommes prêts et je sais que le pays est prêt", a-t-il déclaré.

A Marseille pour son premier meeting de campagne, Emmanuel Macron s'en est pris aux partis traditionnels. "J'entends tellement de partis qui nous accablent de droite et de gauche. Justifiant chaque jour le fait que nous dérangeons. Ils se divisent sur une vision de la société. Mais qu'est-ce que c'est que ces partis, ils n'existent plus", a-t-il lancé.

Emmanuel Macron était en meeting jeudi à Marseille au lendemain de l'annonce de sa candidature à la présidentielle de 2017. Celui qui a refusé de participer à la primaire de la gauche n'a pas manqué de railler ses adversaires. "Les débats de primaires, dont on nous parle tant, il paraît qu'il y en a un ce soir", a-t-il ironisé en faisant référence au troisième affrontements des candidats de la primaire de la droite et du centre. "Ce sont des débats entres des hommes et des femmes qui ne veulent pas le même pays. Читать дальше...

Mécontent du traitement qui lui est réservé sur les antennes de France Télévisions, le candidat à la primaire à droite a quitté, mercredi, le plateau du Soir 3 en plein direct. "Je ne vais pas répondre à vos questions" avait d'emblée annoncé le candidat à la primaire et du centre. "C'est ce qu'on appelle faire du buzz à pas cher", a commenté le journaliste qui l'avait invité dans son journal.

En visite à Berlin ce jeudi, Manuel Valls a décrit son candidat idéal contre le FN. Avec un sourire en coin, le Premier ministre a dit vouloir "faire attention parce qu'il doit y avoir la presse française" dans la salle. "Nous sommes entre nous", a-t-il ensuite lancé aux journalistes avant de parler d'un profil "qui permet de préserver le modèle républicain, nos valeurs". "Mais je m'arrête là, je risque d'avoir des ennuis".

Le Premier ministre a jugé "possible" que Marine Le Pen, la candidate du Front national, gagne l'élection présidentielle française en mai 2017. "Toutes les enquêtes d'opinion disent que la candidate Marine Le Pen sera présente au deuxième tour (...) ça veut dire que l'équilibre de la vie politique française va totalement changer", a éstimé Manuel Valls en déplacement en Allemagne, alertant sur "le danger que représente l'extrême droite".

La justice a validé ce jeudi l'exclusion de Jean-Marie Le Pen en tant que membre du Front national, mais a malgré tout estimé que cela n'avait "pas d'effet" sur son statut de président d'honneur. Et c'est bien là le plus important pour l'avocat de Jean-Marie Le Pen, qui qualifie cette décision de "succès". "L'irrespect total (…) du FN a été sanctionné", a conclu Frédéric Joachim au micro de BFMTV.

En déplacement à Marseille, le candidat à la présidentielle a été interpellé par des enseignants à la sortie de son train. Se "sentant trahis" par la mandature Hollande, ils demandent plus de soutiens pour l'éducation prioritaire. Les enseignants de lycées en zone prioritaire ont appelé à la grève ce jeudi pour réclamer le maintien des moyens supplémentaires dont ils bénéficient, estimant qu'ils sont "les grands oubliés" de la réforme de l'éducation prioritaire de 2014.

Manuel Valls, en déplacement à Berlin ce jeudi, a alerté sur le "danger" que représente l'extrême droite. Il estime "possible" que Marine Le Pen gagne l'élection présidentielle de 2017.

Ce jeudi soir, les sept candidats à l'investiture de la droite et du centre en vue de la présidentielle 2007 s'affrontaient au cours d'un ultime débat avant le premier tour de la primaire ce dimanche.

Jean-Frédéric Poisson, a été questionné sur la question de l’éducation, et notamment sur le décrochage scolaire, jeudi soir au cours du dernier débat entre les candidats à la primaire de la droite et du centre avant le premier tour du scrutin, dimanche prochain.

La candidature présidentielle d'Emmanuel Macron fait souffler un "zéphyr de nouveauté" sur la vie politique française, plutôt salué par la presse. Elle attend néanmoins davantage sur le fond du projet.

Benoît Hamon a assuré que que la candidature à la présidentielle de 2017 d'Emmanuel Macron entraînerait l'effacement de la gauche au second tour de l'élection.

Officiellement candidat, Emmanuel Macron va rencontrer un obstacle de taille sur sa route: la collecte de fonds. Une mission délicate pour un parti sans élu, qui ne bénéficie d'aucune subvention publique.

A trois jours du premier tour de la primaire à droite, le scrutin n'a jamais semblé aussi incertain pour les trois ténors, Alain Juppé, Nicolas Sarkozy et François Fillon. La campagne s'achève sur une dynamique bien différente pour chacun. Une surprise n’est pas à exclure, tant les contours de l’électorat de cette primaire sont incertains. La moindre erreur peut coûter cher.

Emmanuel Macron doit lever 10 millions d'euros auprès des donateurs avant de démarcher les banques pour obtenir 8 millions d'euros. Ces sommes doivent permettre de financer sa campagne puisque l'ancien ministre de l'Economie n'a pas de parti et ne bénéficie donc d'aucun financement public.

En 2015, le Secours catholique a rencontré 608.500 personnes ou ménages en situation de pauvreté. Un chiffre en augmentation de 2,7% par rapport 2014 et qui a fait réagir Benoît Hamon, ce jeudi sur BFMTV et RMC. Pour le candidat à la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste, il faut mettre en place "un revenu universel d'existence (…), qui concernerait tous les Français et serait versé dès 18 ans". Une allocation "automatique" qui permettrait "d'éradiquer la pauvreté", selon l'ancien député européen.

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Benoît Hamon est revenu sur la candidature d'Emmanuel Macron à la prochaine présidentielle. "Je trouve ça assez culotté de sa part (…) C'est un peu à avaler", a commenté le candidat à la primaire à gauche, demandant par ailleurs de rendre public les noms des donateurs pour sa campagne.

Benoît Hamon a proposé ce jeudi sur BFMTV et RMC "d’annuler et reprogrammer l'élection" si "le vote blanc était en tête lors d'un scrutin". "Ce vote doit être reconnu comme une démarche citoyenne de la part d'un certain nombre de nos compatriotes qui ne se reconnaissent dans aucun programme et aucun candidat", a poursuivi le candidat à la primaire de la gauche.

Lors du dernier débat de la primaire de la droite, diffusé ce jeudi soir sur France 2, Nicolas Sarkozy s'est montré outré après une question sur les soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle en 2007.

L'Assemblée nationale a voté jeudi une version remaniée de la "Google tax" proposée par le socialiste Yann Galut. Le gouvernement s'était montré très réservé mais au final il ne s'y est pas frontalement opposé.

Furieux du traitement qui lui est réservé par France Télévisions, le candidat à la primaire à droite a quitté brutalement le plateau du Soir 3 en plein direct.

Alain Juppé, Bruno Le Maire et François Fillon ont chacun adressé un courrier à la Conférence des évêques de France pour répondre à la publication d'un livre, où les ceux-ci s'inquiètent du discrédit du politique.