Gabriel Attal laisse un souvenir contrasté à l’éducation nationale
Le nouveau premier ministre n’est resté que cinq mois à la tête de l’éducation nationale. Il y a multiplié les annonces pas toujours suivies d’effet, tout en impulsant un changement de ton, et en assumant un retour à l’autorité, souhaité par l’opinion mais aussi par une partie des personnels.