Douloureux retour à la vie pour des Pakistanais évacués de la Ghouta
Pas de pain, de gaz, d'eau, de soins, la mort omniprésente... évacué il y a trois semaines de l'enclave rebelle dans la Ghouta orientale en Syrie, où ses enfants et petits-enfants sont restés, le Pakistanais Mohammad Fadhl Akram peine à se remettre de cinq ans de siège."Je suis tellement traumatisé que quand une moto passe dans la rue, je pense à un avion de chasse. Et quand une porte claque, je crois à une bombe", se désole-t-il depuis la maison de son neveu à Gihal Zer, dans...