En Arménie, un large mouvement de contestation menace le gouvernement
Depuis le 4 mai, un mouvement de désobéissance civile ne cesse de se développer en Arménie et vise directement son premier ministre Nikol Pachinian. Ces contestations, nées de la réédition de 4 villages dans le nord du pays à l’Azerbaïdjan, ont gagné la capitale Erevan et s’avèrent être une des conséquences de la chute de l’enclave arménienne du Haut-Karabakh, récupérée militairement par Bakou en 2023.