Nantes. Le « tyran domestique » replonge pour sept mois de prison
À cette peine s’ajoutent les trois mois de la révocation d’un précédent sursis pour des faits similaires sur la même victime. Quand les gendarmes sont appelés, le 16 août, au domicile de cette femme, à Châteaubriant, le prévenu est parti. L’état de la cuisine, sens dessus dessous, avec des pots...