Face aux critiques sur l’affaire Skripal, May s’incline, Johnson fulmine
Au Royaume-Uni, l’unité nationale autour de l’affaire Skripal s’étiole. À l’instar des instances internationales, le chef du Labour, Jeremy Corbyn, demande des preuves avant de s’en prendre à Moscou. Réaction de Londres : lâcher du lest dans l’arène internationale tout en maintenant sa rhétorique agressive dans les médias.