Le rideau de fumée des «salaires décents» de Michelin
L’annonce par le groupe de pneumatiques auvergnat qu’il verserait désormais des «salaires décents» à ses salariés a suscité l’enthousiasme de Bruno Le Maire. Mais la mesure est tout sauf émancipatrice, car il s’agit plutôt d’une forme élargie de chantage à l’emploi.