Новости за 25.04.2016

Le député de l'Eure, candidat à la primaire de droite, voit ses scores se tasser dans les sondages. Il cible donc Alain Juppé, qui domine les études d'opinion, et espère engranger de nouveaux soutiens.

C’est la dernière du quinquennat, mais pas la moins importante. La 4e conférence environnementale, censée fixer le cap du gouvernement jusqu’à 2017, vient d’être ouverte pas Ségolène Royale.

Dans le Journal du dimanche, la direction du parti affirme qu'elle ne veut pas faire d'alliance avec le PS en vue des législatives. Une stratégie risquée.

La ministre de l'Environnement a défendu lundi son homologue de l'Economie, qui agace au sein du gouvernement.

Emmanuelle Cosse était ce lundi l'invitée de BFM Story sur BFMTV. La ministre du Logement a évoqué l'élection présidentielle à venir en 2017, en affirmant son soutien à François Hollande. "Il nous faut une France plus moderne, qui avance, qui soit égale qui fasse la place aux jeunes et aux personnes âgées", a-t-elle déclaré. "C'est pour ça que je crois en la gauche et dans les valeurs de l'écologie pour porter ce type de projet", a-t-elle ajouté. Emmanuelle Cosse "ne veut pas d'un retour en arrière", en pointant du doigt la droite.

Présente lors d'une réunion publique aux allures de meeting de campagne organisée par Stéphane Le Foll Hé Oh la Gauche! ce lundi, Marisol Touraine a défendu le bilan du quinquennat de François Hollande en détournant l'anaphore désormais célèbre "Moi président" prononcé en 2012. "Avec lui président, nous avons fait de belles et grandes choses. Avec lui président, nous avons créé la prime d'activité. Avec lui président, nous avons mis en place le compte pénibilité. Avec lui président, nous avons créé le tiers payant généralisé"... Читать дальше...

Au menu de ce lundi 25 avril, le mouvement « Hé oh la gauche ! » raillé sur Twitter, Obama et Merkel en toute complicité et Emmanuel Macron chahuté. Du lundi au jeudi, le PoliticoZap est un rendez-vous décalé sur l'actualité politique. Découvrez les images, les vidéos, les petites phrases, les polémiques du jour.

Si la droite organise des primaires dans l’optique de 2017, certains candidats se présentent indépendamment de l’élection organisée par les Républicains. Il en va ainsi pour Rama Yade, dont le choix ne plaît pas à tout le monde.

Jean-François Copé s'est exprimé à propos de la primaire de la droite et du centre, ce lundi sur BFMTV et RMC. Le maire de Meaux a estimé que la longue liste des prétendants déclarés à cette élection, dont il fait lui-même partie, était justifiée. "Nous n'avons ni leadership, ni ligne politique incontestable à droite", a-t-il avancé, se disant le candidat d'une droite décomplexée. "La droite décomplexée, ce n'est pas une droite extrême mais une droite qui assume et dont la main ne tremble pas", a affirmé le député LR.

C'est pourquoi le député-maire de Meaux a, à la fois, défendu l'intérêt d'une primaire pour sa famille politique mais aussi sa propre candidature.

Persona non grata au Royaume-Uni, Marine Le Pen s’est étonnée de ce constat, assurant qu’elle n’avait pas l’intention de faire de l’ingérence dans les affaires britanniques.

A un an de la présidentielle, les partisans du chef de l’Etat, emmenés par Stéphane Le Foll, vont tenter de défendre leur bilan et de remobiliser les sympathisants de gauche déçus.

Certes, les sondages n'ont qu'une valeur relative, surtout à un an de l'échéance électorale. Mais il reste intéressant de noter que tous font un même constat: la position du chef de l'Etat devient très inconfortable.

Comment explique-t-on le comportement de ceux qui sont toujours insatisfaits en amour?Jean-Michel Oughourlian, neuropsychiatre, psychologue et auteur de "Notre troisième cerveau", répond à cette question dans le Wikisex de ce lundi 25 avril.

François Hollande n'est pas officiellement candidat à sa succession, mais déjà il mobilise son camp à un an de la présidentielle. Le chef de l'Etat a chargé Stéphane Le Foll d'organiser "Hé ho la gauche", un rassemblement de ministres et de sympathisants. Le but de la manœuvre: rassembler l'électorat de gauche et d’assurer le service après-vente des réformes du quinquennat en vue de 2017. Pour redorer l’image écornée du président et soigner sa gauche, l’idée est de mettre en avant le bilan social du mandat.

En visite dans le Puy-de-Dôme lundi, Emmanuel Macron s’est d’abord rendu dans l’usine Rexiaa, à Issoire. Le ministre de l’Économie y a été accueilli par les huées des manifestants de l’intersyndicale CGT-FO, venus l’interpeller sur la loi Travail. Pendant une quinzaine de minutes, le ministre s’est efforcé de discuter avec eux, assurant être venu pour les écouter.

En visite dans l'usine Rexiaa d'Issoire, dans le Puy-de-Dôme, Emmanuel Macron a une nouvelle fois défendu le bilan du gouvernement. Le ministre de l'Économie est notamment revenu sur les paroles de François Hollande, qui assurait il y a peu que la France allait mieux qu'au début de son mandat. " Il y a des gens pour qui ça ne va pas mieux, il y a un pays qui en moyenne va mieux", a ainsi précisé Emmanuel Macron.

Les citoyens rejettent les partis politiques. Et le PS, parti au pouvoir via François Hollande, est le premier à en pâtir avec une baisse de 40.000 adhérents depuis 2012.

Interpellé par des syndicats dès son arrivée dans une usine du Puy-de-Dôme, lundi, Emmanuel Macron a défendu le bilan du gouvernement. "Ça va mieux", assure-t-il, au moins sur un plan global.